cava aux iles Fidji

Apres une arrivee plutot accueillante a Nadi, un groupe de musique traditionnelle jouant du yukulele, nous partons en quete d'informations sur les conditions d'importation d'une planche de surf des Fidji a Wallis. Plus d'une heure apres, nous abandonons malgre la gentillesse des fidjiens.
Arrive a l'hotel paradisiaque mercure, et oui nous achetons francais meme a l'autre bout du monde, petite exursion au castorama local (Benson electric) afin d'acheter un adaptateur universel. Apres une trempette dans la sympathique piscine sous unr petite trentaine de degres, nous decidons de trouver la plage.
Le chauffeur a mis la meilleure volonte du monde pour trouver la plus belle plage aux alentours ( belle plage au sens americain du terme) : nous arrivons dans un complexe touristique ou le sable blanc a ete apporte pour cacher le vilain sable noir volcanique, bizarrement, personne ne se baigne dans la mer, et oui, il y a les piscines pour cela. Petite ballade le long de la plage afin de trouver un endroit plus tranquile ; des complexes touristiques s'alignent a perte de vue...
Pour trouver des couleurs un peu plus locales, nous prenons un taxi pour rejoindre le centre de Nadi. En deux mots, alpagage et embobinage a tous les coins de rue. Bilan : nous avons fini dans une boutique a boire du Cavaet a discuter avec le gourou commercant. Bilan bis : achat d'une tortue de bois.

Tout ce qui etait calolo (cool) : les coktails delicieux, reparler anglais avec des gens qui parlent anglais (pas comme les coreens), les oiseaux multicolores, les vues de l'avion, les gens sympas qui viennent nous parler spontanement, les paysages montagneux au bord de la plage et la vue sur les ilots, les palmiers, la chaleur ( surtout pour sophie qui ne se plaint pas d'avoir froid et n'est pas trempe contrairement a moi...)
A plus pour notre arrivee a Wallis...

lost in translation (in Séoul)

Nous sommes bien arrivés à Séoul ce matin (pour vous vers minuit mercredi) et là, perdu dans le dédale de l'aéroport, entourés de Coréen aussi doués (moins que Clément) que moi en anglais, on a un peu galéré. Nous sommes bien heureusement tombé sur deux suisses très sympathiques qui ont partagé nos difficultés.
Après un petit passage (une heure) dans sorte de quatrième dimension baignée par le décalage horaire et l'accent coréen, nous avons finalement trouvé une navette pour ralier le centre ville de Séoul.
A partir de là, une solution efficace s'offre à nous: "le promène couillon" autrement appelé "city tour" ou comment visiter Séoul en deux heures top chrono! Et bien, nous n'avons pas été déçus (aucune ironie ici).
La ville est un mélange de "manga japonais et de bioman" selon Clem. On a eu le droit à tous les clichés et à autant de surprises mangnifiques (palais et toits à pagode, écrans géants à tous les coins de rues, petits bouis bouis de deux mètres carrés amoncelés dans les rues...).
Pour le repas, nous nous sommes perdus dans une impasse de insadong, l'un des quartiers les plus typiques de Séoul. Et là, on a pas compris comment les coréens pouvaient garder la ligne: le serveur nous apporte, en moins de 10 secondes, 16 plats de la gelli au plat de viande sans identité définie (sophie n'y a pas gouté par égard pour les animaux de companie).
Retour à l'aéroport après une petite marche dans les rues de Séoul, Clément est HS après avoir dormi une heure en "il ne sait plus combien de temps mais c'est beaucoup" (il a passé la "nuit" dans l'avion les yeux collés au hublot: magnifique vue de jour d'Amsterdam, de nuit d'oulan bator...).

J-2

J-2 sous le soleil de Paris. En attendant notre avion mercredi nous préparons notre blog dont voici le premier article. On tenait à vous faire un dernier aurevoir numérique depuis la métropole. Petite pensée pour la bretagne et les bretons qui viendront certainement nous rendre visite (au moins sur le blog). Merci de communiquer cette adresse à tous ceux qui seraient susceptibles d'être intéressés par notre périple wallisien. A bientôt donc pour les premiers clichés du sud pacifique...