lost in translation (in Séoul)


Nous sommes bien arrivés à Séoul ce matin (pour vous vers minuit mercredi) et là, perdu dans le dédale de l'aéroport, entourés de Coréen aussi doués (moins que Clément) que moi en anglais, on a un peu galéré. Nous sommes bien heureusement tombé sur deux suisses très sympathiques qui ont partagé nos difficultés.
Après un petit passage (une heure) dans sorte de quatrième dimension baignée par le décalage horaire et l'accent coréen, nous avons finalement trouvé une navette pour ralier le centre ville de Séoul.
A partir de là, une solution efficace s'offre à nous: "le promène couillon" autrement appelé "city tour" ou comment visiter Séoul en deux heures top chrono! Et bien, nous n'avons pas été déçus (aucune ironie ici).
La ville est un mélange de "manga japonais et de bioman" selon Clem. On a eu le droit à tous les clichés et à autant de surprises mangnifiques (palais et toits à pagode, écrans géants à tous les coins de rues, petits bouis bouis de deux mètres carrés amoncelés dans les rues...).
Pour le repas, nous nous sommes perdus dans une impasse de insadong, l'un des quartiers les plus typiques de Séoul. Et là, on a pas compris comment les coréens pouvaient garder la ligne: le serveur nous apporte, en moins de 10 secondes, 16 plats de la gelli au plat de viande sans identité définie (sophie n'y a pas gouté par égard pour les animaux de companie).
Retour à l'aéroport après une petite marche dans les rues de Séoul, Clément est HS après avoir dormi une heure en "il ne sait plus combien de temps mais c'est beaucoup" (il a passé la "nuit" dans l'avion les yeux collés au hublot: magnifique vue de jour d'Amsterdam, de nuit d'oulan bator...).
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