Wallis Endless Summer

Besoin d'une traduction? Wallis, 17 fois 7 kilomètres perdus dans le pacifique entre la Nouvelle Calédonie et Tahïti, 10 000 habitants, une vue sur le lagon et ses îlots, 27 degrés en moyenne toute l'année et le reste à découvrir sur ce blog!

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Lieu : Wallis & Futuna

Sof et Clem

23 mars 2007


La Nouvelle Zélande, le paradis ! Nous avons passé un séjour super, bien que trop court. Clément a conduit 1000 km de route à gauche, sans trop de problèmes, pour visiter une bonne partie de l'île du nord. Paysages à couper le souffle, autochtones très sympa, plages et vagues magnifiques, moutons, geysers, vaches, montagnes, petites villes où se lit clairement dans l'architecture l'influence coloniale anglaise, piscines naturelles chauffées...


Nos derniers messages concernant ce voyage nous avaient laissés à Auckland, donc voici la suite et fin de nos aventures :
Nous avons continué l'épisode shopping et je défie quiconque d'insinuer à nouveau que c'était une activité futile car après 6 mois de restriction à Wallis c'était un besoin vital psychologiquement pour moi et concrètement pour Clément (qui n'avait plus grand chose à se mettre sur le dos). Nous avons aussi bien profité des restos sur place et notamment des restos japonais qui nous manquaient beaucoup. Nous avons aussi visité le parc et le marché d'Auckland et sommes montés sur la Sky Tour : très très impressionnant. Savez-vous qu'elle domine la tour Effeil de 2 mètres ! C'est très bien expliqué sur un petit schéma présent dans la brochure distribuée aux visiteurs. Du coup, nous avons été obligés de signaler au guide que la tour Effeil était bien plus belle « more beautifull » que leur Sky Tour...(on leur a quand même dit que c'était une « joke » car ils commençaient à changer de couleur). Nous avons aussi profité de la ville pour aller au ciné voir un magnifique film (lol) dans lequel joue Hugh Grant. Enfin, nous nous sommes mêlé à la jet set locale le samedi soir : installation d'art contemporain suivie d'un spectacle de danse contemporaine sur la musique des 4 saisons de Vivaldi. Malheureusement, pas de saut en parachute pour clôturer le voyage car beaucoup trop de vent.


Nous devions passer la dernière nuit devant la location du van et partir tôt le matin pour l'aéroport. Problème no 1: nous réalisons à minuit (après l'expo, le spectacle et un ptit resto italien sur fond sonore de chansons de Céline Dion reprises en italien) que nous n'avons pas de réveil; donc nous arpentons tout Auckland de nuit à la recherche du précieux objet introuvable! Au final, nous ne fermons pas l'oeil de la nuit ! Problème no 2 : le taxi « oublie » de venir nous chercher à 5 heures du matin (nous l'avions pourtant réservé la veille dans un anglais parfait) pour nous conduire à l'aéroport !!! Au bout d'une demi heure, nous décidons de partir à pied à la conquête des 10 Km de 4 voies qui nous séparent de l'aéroport. Aucun taxi ne daigne nous prendre au passage, la course n'est pas assez longue (pour eux...). Finalement, nos yeux de chiens battus très fatigués et la vue de nos bagages nous font prendre en pitié par un taximan très sympa qui nous permet de ne pas rater notre avion !

Problème no 3 : Nous n'avons pas beaucoup de photos car nous n'avons pas pu recharger l'appareil photo numérique sur place... nous avons donc investi dans un magnifique appareil photo jetable qui nous délivrera ses secrets dans les semaines à venir : vive la technologie! Voilà quelques clichés que nous avons pris avant que la batterie ne rende l'âme: le spot de surf de Raglan, Sophie devant les geysers, Clément et sa fougère arborescente.

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